







9 unités de traitement d’eau potable autonomes et technologiquement adaptées aux contraintes locales sont installées dans les villages et disponibles pour les populations bénéficiaires. 15 pompes à motricité humaine ont été réparées et 150 latrines construites. L’intervention a eu lieu dans 15 villages situés dans les sous-préfectures de Ferké et de Kong. Nombre de bénéficiaires: 8.000 personnes de 15 villages cibles sont les bénéficiaires directs de l’action. Toutefois, l’action aura également des répercussions sur un plus grand nombre de populations environnantes n’ayant pas accès à
9 unités de traitement d’eau potable autonomes et technologiquement adaptées aux contraintes locales sont installées dans les villages et disponibles pour les populations bénéficiaires. 15 pompes à motricité humaine ont été réparées et 150 latrines construites. L’intervention a eu lieu dans 15 villages situés dans les sous-préfectures de Ferké et de Kong. Nombre de bénéficiaires: 8.000 personnes de 15 villages cibles sont les bénéficiaires directs de l’action. Toutefois, l’action aura également des répercussions sur un plus grand nombre de populations environnantes n’ayant pas accès à
































Nicaragua
Le Nicaragua est un pays d’Amérique centrale, limitrophe du Costa Rica au sud et du Honduras au nord. Sa capitale est Managua. Le Nicaragua compte 6, 466 millions d’habitants.
Au Nicaragua, il n’est pas question de pénurie d'eau. Néanmoins, en 2004, la Fondation pour le Développement des Ressources du Nicaragua (NRDF) menait une étude visant à décrire la situation sanitaire des sources d'eau des départements de Chinandega, de Léon, de Jonotega et de l'île d'Ometepe. Ces départements font partie des zones les plus pauvres du Nicaragua. De nombreuses maladies hydriques sévissent dans ces régions. Cette analyse qui concernait 38 sites de fourniture d'eau, a démontré que les sources et les captages alimentant les réservoirs de stockage et les réseaux de distribution domiciliaires des communautés locales étaient pour la plupart dépourvus de dispositifs de filtration et de désinfection. Cette situation se traduit par la prévalence de nombreux cas de maladies hydriques et autres maladies infectieuses liées à la consommation et à l'utilisation d'une eau non potable. De plus, l'étude a montré que l'hypochlorite de sodium nécessaire pour désinfecter l'eau consommée par la population n'est pas toujours disponible. Parfois, le désinfectant est financièrement inaccessible pour les communautés villageoises.
L’histoire d’objectif Ô au Nicaragua a débuté en 2009 par une mission d’évaluation des besoins afin de déterminer quel type d’intervention était nécessaire de mettre en place dans la région de Léon à environ 80 km de la capitale Managua.
Grâce au soutien de la Loterie Nationale, avec notre partenaire opérationnel Altech.
Nous sommes allés installer 5 unités de production d’hypochlorite de sodium sur des réservoirs d’eau existants. Ce système permet aussi de doser correctement le désinfectant par rapport à la quantité d’eau rentrant dans le réservoir. L’eau est ensuite distribuée dans les petits réseaux, uniquement par gravitation. Grâce à ce projet, plus de 10000 personnes ont le droit d’accéder quotidiennement à une eau saine.

Au Nicaragua, la question de pénurie d'eau ne se pose pas. Cependant, en 2004, la Fondation pour le Développement des Ressources du Nicaragua (NRDF) menait une étude visant à décrire la situation sanitaire des sources d'eau des départements de Chinandega, de Leon, de Jonotega et de l'île d'Ometepe. Cette analyse, qui visait 38 sites de fourniture d'eau, a démontré que les sources et les captages qui alimentaient les réservoirs de stockage et les réseaux de distribution domiciliaires des communautés locales étaient pour la plupart dépourvus de dispositifs de filtration et de désinfection. Cette situation se traduit par la prévalence de nombreux cas de maladies hydriques et autres maladies infectieuses liées à la consommation et à l'utilisation d'une eau non potable. De plus, l'étude a montré que l'hypochlorite de sodium ou « Eau de Javel » nécessaire pour désinfecter l'eau consommée par la population n'est pas toujours disponible sur place en quantité suffisante. Parfois le désinfectant est financièrement inaccessible pour les communautés villageoises. Suite à ce constat alarmant, objectif Ô a voulu agir. En 2009, une mission d'évaluation des besoins a eu lieu afin de déterminer quel type d'intervention il était nécessaire de mettre en place.
Au Nicaragua, la question de pénurie d'eau ne se pose pas. Cependant, en 2004, la Fondation pour le Développement des Ressources du Nicaragua (NRDF) menait une étude visant à décrire la situation sanitaire des sources d'eau des départements de Chinandega, de Leon, de Jonotega et de l'île d'Ometepe. Cette analyse, qui visait 38 sites de fourniture d'eau, a démontré que les sources et les captages qui alimentaient les réservoirs de stockage et les réseaux de distribution domiciliaires des communautés locales étaient pour la plupart dépourvus de dispositifs de filtration et de désinfection. Cette situation se traduit par la prévalence de nombreux cas de maladies hydriques et autres maladies infectieuses liées à la consommation et à l'utilisation d'une eau non potable. De plus, l'étude a montré que l'hypochlorite de sodium ou « Eau de Javel » nécessaire pour désinfecter l'eau consommée par la population n'est pas toujours disponible sur place en quantité suffisante. Parfois le désinfectant est financièrement inaccessible pour les communautés villageoises. Suite à ce constat alarmant, objectif Ô a voulu agir. En 2009, une mission d'évaluation des besoins a eu lieu afin de déterminer quel type d'intervention il était nécessaire de mettre en place.

Suite à la mission d’évaluation de 2009, 5 unités de production de chlore autonomes ont été installées dans les départements de Chinandega et de Leon. Ces départements font partie des zones les plus pauvres du Nicaragua. De nombreuses maladies hydriques sévissent dans la région, il était donc urgent d’installer des solutions d’accès à l’eau potable de manière durable. Nombre de bénéficiaire : 10.000 personnes.
Suite à la mission d’évaluation de 2009, 5 unités de production de chlore autonomes ont été installées dans les départements de Chinandega et de Leon. Ces départements font partie des zones les plus pauvres du Nicaragua. De nombreuses maladies hydriques sévissent dans la région, il était donc urgent d’installer des solutions d’accès à l’eau potable de manière durable. Nombre de bénéficiaire : 10.000 personnes.











